Pourquoi prendre en main
son e-réputation ?
Pourquoi prendre en main
son e-réputation ?
Parce que votre e-réputation existe, que vous le vouliez ou non.
« Vivons heureux, vivons caché », c’est terminé.
S’il n’y a pas d’information sur vous en ligne, c’est déjà une information.
Protéger sa 1ère page Google
En France, plus de 90% des recherches effectuées sur Internet passent par le moteur de recherche Google, et moins d’une recherche sur dix s’étend à la page 2.
(source : Chitika Online Advertising Network)
Pour la majeure partie des internautes (vos clients, prospects, fournisseurs, partenaires, candidats, concurrents…) votre e-réputation, c’est ce que l’on dit de vous en première page de Google quand on vous recherche.
Prendre son e-réputation en main, pour une personne comme pour une entreprise,
c’est d’abord essayer de maitriser le plus de résultats possibles parmi les résultats de la première page Google.
Plus il y aura de contenus positifs et sur lesquels vous avez la main sur la première page de Google, plus votre image sera protégée et valorisée.
L’e-réputation
frein ou boost à votre développement ?
La question est simple : Combien d’internautes en recherche d’informations sur une marque ou un produit sont détournés de leur recherche avant d’y arriver et vont cliquer sur un contenu tiers ?
Une entreprise du CAC est recherchée en moyenne autour de 850 000 fois par mois (soit plus de 10M de fois par an) sur Google. Pour peu qu’il y a ait un – ou plusieurs – contenu négatif parmi ces 7, 8, 9 voire 10 contenus supplémentaires, quel est le préjudice en termes de visites sur le site de l’entreprise ? en termes d’image ? en termes de CA ?
Tous les sites internet ne sont pas des plateformes de e-commerce sur lesquels l’internaute est un client potentiel, guidé fiévreusement jusqu’à l’acte d’achat en ligne.
La quasi majorité d’entre eux a en revanche une vocation commerciale, une logique de promotion ou un outil de communication.
L’e-réputation n’est donc pas systématiquement une question de vie ou de mort, mais toujours un enjeu important : un frein ou un boost au développement de l’entreprise.
Cet enjeu est difficile à quantifier, tant il peut varier selon les secteurs et les business models. On sait cependant aujourd’hui que « la volonté des gens à acheter, recommander, travailler ou investir dans une entreprise est conditionné à 60% par leur perception de l’entreprise et seulement 40% par leur perception de leurs produits ». (source : Reputation institute)